samedi, décembre 30, 2006

De retour!

24 Décembre: En route vers Montréal, dans Ville-Émard, pour aller chez ma grand-maman maternelle. Réunion de famille un peu coquasse, entre le couple nouvellement séparé faisant semblant que rien n'est arrivé, la grand-maman frustrée de pas avoir pu laver sa douche et la maman ne mangeant rien question d'allergies. À huit heure, direction l'église (un gros 15 pas en sortant de la porte avant) pour la messe des enfants (celle de minuit étant vraiment trop...en tout cas). Rien de notable, sauf peut-être la petite fille criant, en voyant arrivé le petit Jésus pour la crèche, 'Maman!! Le bébé est mort!' et ponctuant les fin de chansons de 'Ding dong!' retentissants. Outre un téléphone à mon grand fréro à minuit pour lui chanter Petit papa Noël, le reste de la soirée fut assez banal.
25 Décembre: Après une proposition soudaine du mononcle, on embarque la totalité du souper de Noël dans les voitures (ce qui est tout de même tout un exploit), on s'embarque tous dans les voitures préalablement remplies du souper de Noël, et on se dirige vers Sherbrooke pour tenir compagnie à mon grand frère délaissé de tous. Après avoir fait sa vaisselle, passé son balais, lavé sa douche et sa toilette, avoir mangé (trop, bien entendu), avoir regardé mes deux frères jouer à Dragonball sur X-Box tout en leur rappelant les détails inutiles de ce manga et avoir menacé mon grand fréro de tous se mettre au ménage de sa chambre, nous sommes remonté dans les voitures et sommes revenus à Saint-Jean, Montréal ou Granby, tout dépendant de qui il s'agissait.
Après avoir fait une petite réception bien sympathique chez ma maman, me revoilà maintenant devant mon cher ordinateur, avec ma graisse du temps des fêtes et mon bébé chat.
Il neige. C'est blanc. C'est chouette!

vendredi, décembre 22, 2006

Woopie

Je cherchais un titre plus inspiré, mais je crois que c'est celui qui correspond le mieux à la situation. Donc...ahem....Nous sommes officiellement en vacances!!!! Noël est dans trois jours (je ne suis pas encore convaincue que cela mérite vraiment un woopie, mais ça viendra...peut-être). J'ai déjà eu mon premier cadeau de Noël! En fait....j'en ai déjà eu deux....bref! Mon petit minou a eu son cadeau de la part de Marie-Ève, j'ai acheté tous mes cadeaux (presque), j'ai découvert une nouvelle sorte de café absoluement délicieuse, je vais revoir ma Francinotte adorée (peut-être), je vais m'empifrer de bûche (oh flûte....ça c'est déjà fait)....bref, réjouissons nous tous en choeur. Comme je repars ce soir vers chez ma maman chérie et que je n'est pas accès à l'internet de là-bas, je vous souhaite à tous un très Joyeux Noël rempli de cadeaux, de bûches et surtout d'amour (ou amitié, ou autre truc le fun du genre).
Joyeux Noël à tous!

mercredi, décembre 20, 2006

Citations de Tchiko Lambert

Mon petit frère étant une source inépuisable de citations toutes plus sogrenues les unes que les autres, j'ai décidé d'en partager quelques unes avec vous.


"Tu recherche une raison de te dire non à toi même, Chreustine, refoulant ainsi une profond sentiment de non confiance dû à une exposition trop longue à un panda brun de Laval."

"L'oiseau, si petit soit-il, peut vaincre le tigre, si grand soit-il, grâce à la force de ses petites pattes et son arme de prédilection: la hache. "

samedi, décembre 16, 2006

Ce n'est qu'un aurevoir, mes frères...

Il y a quarante minutes, j'ai remis mes clefs à ma patronne. Ma dernière journée au Colisée du Livre est arrivée. Mes dernières 5 heures et 15 minutes dans ce lieu qui m'a acceuilli un peu plus de 20 heures chaques semaine depuis juillet. Je ne chanterai plus en dansant avec mon balais sur le rythme de CKOI lorsqu'il n'y a pas de clients. Je ne regarderai plus pendant des heures les mêmes livres de recettes en me disant que je devrais éventuellement les écrire sur un bout de papier pour les faire. Je ne passerai plus de ce petit balai ridicullement petit proportionellement à la surface de plancher. Je n'aurai plus à me tuer sur ma petite bicyclette chérie pour essayer d'arriver à l'heure les jeudis et vendredis après l'école. Je ne lirai plus les livres de régimes complètement ridicules et tous se déclarant plus miraculeux que les autres. Je ne pourrai plus admirer les livres d'art à couper le souffles. Et je pourrais continuer à dire d'autre truc complètement dénués d'intérêt pour vous pendant longtemps encore. Mais je vais vous épargnez. En gros, j'ai fini de travailler et j'ai aucune idée si mon supposé-futur-patron me contactera un jour. On verra bien.
Sur une autre note, j'ai vu le Père Noël faire son jogging sur la bande du canal aujourd'hui. Le pauvre avait l'air bien rachédique.

vendredi, décembre 15, 2006

Mais où est passé l'esprit des fêtes?

15 décembre, 22h37, en direct de mon salon ou mon petit chat s'amuse à réduire mon dos et mes épaules en lambeaux de chair sanguinolants. Il fait présentement 7 degré Celsius. Oui oui. Vous avez malheureusement bien lu. 7 degré un 15 décembre. Avec l'absence de froid vient l'absence de neige. Et avec l'absence de neige vient l'absence d'esprit de Noël. Moi qui ai tant chialé contre toutes les décorations stupides qui tournent en rond en chantant des chansons, qui ai tant protesté contre les maudites chansons de Noël poches qui tombent sur les nerfs à partir de mi-novembre et contre les pères Noël qui accaparent les centres d'achats aussitôt que commencent les tounes de Noël poches, je les remercie d'envahir ainsi nos vies. Sans eux, je n'aurais probablement pas encore réalisé que Noël est dans 10 jours. 10 jours. Ce qui veut dire que les examens d'avant Noël sont cette semaine. Et que cette semaine commence dans deux jours. Intéressant.

jeudi, décembre 07, 2006

La nature en SPM

Ce matin, j'avais l'impression d'être au mois de mars. Vous savez, quand il recommence à faire chaud, que la neige est plus bouetteuse qu'autre chose et que l'on ne sait plus trop comment s'habiller? Même que lorsque je suis partie, il commençait à pleuvoir un peu. Ce soir, alors que je sors d'une autre soirée palpitante au travail, on se serait crus quelques jours après Noël, lorsqu'il a fait un peu chaud mais que le froid décide de se repointer le bout du nez. Et lorsque je suis sortie, il commençait à neiger. Mère Nature a des sautes d'humeur assez drastiques. Mais si c'est pour apporter de la neige, tant mieu!
Points positifs de la journée: Dernière journée de la semaine pour moi! Demain, journée popotte pour un oral de français.
J'ai réussit à donner ma démission. Je l'ai fait! Et ma boss ne me déteste pas. *soupir de délivrance*
Points négatifs (et non, vous ne serez pas épargnez)
Je sais toujours pas si j'aurais ma nouvelle job.
Et.....je vais vous épargnez finalement. Soyez positifs, chantons des tites tounes de Nowel pour se mettre dedans et installons nous devant les fenêtres en espérant voir arriver une tempête de neige.

lundi, décembre 04, 2006

C'est blanc dehors.

* Quand la neige recouvre la verte Finlande....*

Eh oui! La neige recouvre le paysage environnant. Daccord, nous ne sommes peut-être pas en Finlande (c'est fou le temps que ça m'a pris pour découvrir que c'était ça les paroles de la chanson), mais la neige nous a tout de même recouvert. Nous n'avons pas eu la chance de Québec, ni de Victoria, mais au moins, c'est blanc dehors. Ça remet un peu de vie au décor triste et lugubre qui nous entourait depuis trop longtemps à mon goût. Je vous entends espérer "Oh! Mais comme il y a de la neige, peut-être arrêtera-t-elle de chialer un peu!". Espérez toujours mes petites méduses. Ce n'est pas quelques petits flocons de neige qui réussiront à me faire taire. Daccord, peut-être pour ce soir. Mais attendez vous à me voir revenir en force très bientôt.

samedi, décembre 02, 2006

Si

Un mot. Un tout petit mot qui semble tout à fait inoffencif. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. Ce mot est un parasite. De la même famille que "pourquoi". Une fois implanté dans votre cerveau, il refuse d'en sortir. Pire même, il prolifère. Il se multiplie, se répend dans tous les recoins, installant une petite graine de doute dans votre esprit autrefois si sûr de lui. La petit graine germe, grandit et prend de plus en plus de place. Alors que les 'si' continuent d'envahir la place, le doute devient de plus en plus grand. On a beau essayer de se changer les idées, de se convaincre qu'il n'y a pas de raisons de douter, les si et le doute s'allient, et telle une armée invincible, détruisent tous vos arguments les plus logiques. Une fois les arguments défaits, ils continuent leur avancée. Les si se répendent violement, partout, comme une lèpre mentale. Ils s'emparent de nos souvenirs, de nos pensés présente, de nos espoirs et de nos espérances et nous font douter de leur deux lettres meurtières. Si. Et si j'avais fait ça plutôt que cela? Et si ça ne se passait pas comme prévu? Et si c'était une erreur? Et si....
Si seulement il y avait un piton 'off' sur notre cerveau.

vendredi, novembre 24, 2006

Mon petit sac à puce



La petite chose poilue grise accompagnant ce qui me sert de face, c'est ma Choupette. Histoire d'amour fulgurante qui sera probablement trop brève.

Mardi passé, alors que je revenais de chez mon pôpa chéri, j'entendis des pleurs de chat. Je me suis tout d'abord dis que je ne devais pas m'en soucier. Je rentrai donc ma fidèle monture chez ma mômô. Mais une fois rendue à l'intérieur, avant de refermer la porte, j'entendais toujours les pleurs de ce pauvre petit être déséspéré. Je décidai donc d'aller voir si il n'était pas blesser ou quelque chose du genre. C'est alors que ce petit être plein d'affection et de puces me sauta dessus, grimpa sur mon épaule et se mit à ronronner dans mon oreille. Après avoir fait des beaux yeux à ma maman chérie, je l'ai adoptée.

Mais voilà. Elle a des puces, elle envahie le territoire du pauvre Monsieur Tiger, et elle mange tout (y compris le pain sur le comptoir, et le sac enveloppant ce même pain). Alors il semblerait que je doive me départir de ce petit paquet d'amour sur quatre pattes. Peut-être. Ou pas.

jeudi, novembre 23, 2006

Complainte contre les puces



C'est laid, c'est petit, ça pique, c'est pas tuable, ça pond tout plein d'oeufs et en plus, ça saute. Rien pour se faire aimer. Déjà, avant, je trouvais que c'était des insectes stupides, inutiles et pas beaux. Maintenant, en plus, je les aime pas. Peut-être pourrais-je même me permettre de les détester. Pour ceux qui commencent à se dire que plus jamais ils s'approcheront de moi à moins d'être dans un moustiquaire imbibé d'anti-bibitte, ce n'est pas moi qui ai des puces. De toute façon, les puces ne vivent pas sur les humains. Elles se contentent de gentiment les piquer un peu partout. La pauvre victime de cet horrible fléau est nulle autre que ma petite Choupette adorée. Une petite minette adorable trouvée, affamée et esseulée, que j'ai décidé d'adopter. Mais il semblerait que les puces aussi ont adopté ma petite chérie hyper-active. Après deux shampooings (particulièrement éprouvants pour ma Choupette et douloureux pour mes pauvres épaules) et deux applications de prétendu produit miracle tuant instantanément toutes les puces, je commence à déséspérer. Donc, demain, direction vétérinaire pour acheter un produit, espérons le plus efficaces que les autres. *soupir*

dimanche, novembre 19, 2006

Les livres (encore)

J'ai décidé de réfaire un petit message sur mes livres adorés. On pourrait croire que c'est parce que je manque d'inspiration. Loin de là! La semaine passée fut pleine de rebondissement tous plus rebondissants les uns que les autres. Mais j'ai eu un regain d'amour pour les livres aujourd'hui.
Hier, alors que j'étiquetais joyeusement des livres, j'ai repéré deux livres d'Amélie Nothomb. Il me semblait que quelqu'un m'avait fortement suggéré cette auteur. J'avais d'ailleurs lu...flûte....le nom a décidé de ne pas me revenir...L'hygiène de l'assassin il me semble, et j'avais bien aimé. Mais bref, comme j'avais du boulot, j'ai continué d'étiqueter sans plus y penser. Cependant, ce soir, le travail se faisait plutôt rare. Je me suis donc mise à la recherche des ces deux livres, que j'ai facilement retrouvés. J'ai commencé la lecture de 'Métaphysique des tubes' il était environ 17h20. À 20h50, j'avais terminé la lecture de 'Métaphysique des tubes' et 'D'attentat'. Verdict: Je ne sais pas si quelqu'un me l'avait vraiment recommendée, mais si oui, il avait drôlement raison de le faire.

mardi, novembre 14, 2006

Hourra pour les sourires!


En cette sympathique semaine du sourire, je me suis dis que je pourrais bien faire une petite éloge en l'honneur des sourires. Certains d'entre vous penseront peut-être "Mais de quoi elle parle elle? C'est la fille qui à l'air de boeuf le plus antipathique que j'ai vu de ma vie!". Vous avez peut-être raison. Mais, comme le soleil se cachant derrière les nuages, mon air de boeuf cache un sourire rayonnant (oouh, j'ai cherché ça loin moi). J'avoue, l'école est assez rarement éclairée de ce sourire fantastique, mais c'est que je le garde pour d'autre occasion. Et j'ai eu la preuve que sourire, c'est une bonne chose. Vraiment! Je savais déjà que c'était bon pour le visage parce que ça fait travailler des muscles et que c'est recommender de faire prendre l'air à ses dents une fois de temps en temps (oui, daccord, ça, je l'ai inventé). Mais il y a plus! Déjà au karaté, les professeurs me reconnurent grâce à ce sourire que j'abordais toujours dans le temps ou j'étais un petit moustique. Et grâce à ce même sourire, il est possible que je me sois trouvé un nouveau travail! Le patron du magasin d'informatique avoisinant ma librarie de livres usagés m'a proposé l'autre jour un emploi dans son magasin. Il a dit que j'avais l'air bien travaillante, et que comme j'étais toujours souriante, c'était bon pour les clients. Rien n'est encore sûr, et peut-être continurai-je à placer des livres jusqu'à mon arrivée au Cégep. Mais tout de même! C'est toujours bon pour le moral de se faire proposer un emploi simplement grâce à une rangée de dents gentiement exibée.
Morale de la journée: Puisque le soleil semble avoir renoncé à se pointer le nez, aussi bien ensoleiller nos journées nous même en gardant le sourire!

lundi, novembre 06, 2006

Éloge de la pomme


Comme mon blog commençait à ressembler à un ramassis de chialages pathétiques d'adolescente en syndrome pré-menstruel à temps plein, je me suis dit que je me trouverais un sujet positif pour la journée. Et je l'est trouvé; La pomme.
Lorsque j'étais plus petite (oui, j'ai déjà été plus petite encore), chaque automne nous allions aux pommes. Et nous mangions tout plein de pommes, assez pour nous rendre malades (ah, le self-control des enfants). Bref, depuis quelques années, manger des pommes ne me semblait pas tellement attrayant.
Mais cette année, j'ai redécouvert les plaisirs de la pomme. En effet, quoi de mieux lorsque la température semble vouloir nous pousser vers la dépression que de faire un peu de popotte. Après une escapade au Mont St-Grégoire il y a deux semaines, je me sentis inspirée pour faire une tarte aux pommes. Mais avec mes grands talents de cuisinière, la pâte n'était pas prête alors que je la voulais. J'ai donc décidé de faire de la compote. J'avais oublié à quel point ça peut être bon. Et le lendemain, alors que ma pâte a décidée d'être coopérative, j'ai fait une tarte. Et mon papa a encore fait la compote la semaine passé. Vraiment, personne ne devrait s'en passé.
Leçon de la journée: Les pommes, c'est bon. De plus, elles contiennent seulement 60 calories par 100 grammes. Alors non seulement elles sont bonnes pour la santé et ont un goût délicieux, mais en plus elles ne vous feront pas engraisser. Alors, manger des pommes mes jeunes padawans. C'est bon pour vous.

vendredi, novembre 03, 2006

Retour à la normale

Me voilà devant mon écran chéri, enfin capable de mettre mon cerveau en mode 'repos' sans en ressentir de culpabilité. La majorité de mes projets sont remis. Ceux qui ne le sont pas sont presque finis. Je viens de finir notre petit Sentier Lyrique chéri. Tant de stress, de sacres et de pétages de coches pour une petite heure toute chétive de présentation. Résultat final: Un peu décevant. Mais c'est ce que je dis tout le temps, alors je suppose que ce n'était pas si mauvais. Mes doigts sont de nouveaux capables de bouger. Deux heures à l'extérieur à tenir une lampe de poche un 3 novembre, c'est pas l'idéal pour la température corporelle.
La vie reprend son cours normal. Après un Halloween un peu éprouvant (c'est pas parce qu'on est un ange qu'on est plus patiente que d'habitude), les tonnes de projets nous écrasant au fil des jours, les examens stressants à s'en taper la tête dans les murs, le stress post-sentier lyrique, le stress post-vol de vélo de mon grand frère, le stress post-papa a perdu son boulot, le stress post-mon bal va me coûter 210$, etc...je dois admettre que le retour à ma petite vie banale ne me déçois pas trop. Voilà donc mon update (y a-t-il un mot francophone potable pour ce mot?) de la journée.

P.s: J'attend impatiement la neige. Yen a marre de la pluie.
P.p.s: Un bibliothécaire masqué qui parle pas, ça fait vraiment peur.
P.p.s.s: Être déguisée en ange ça rend peut-être pas plus patiente, mais ça donne le goût de prendre des photos.

jeudi, octobre 26, 2006

Angoisse post-photographique

Et voilà! C'est fini (du moins je le crois bien). Les photos des finissants sont terminées. Une nouvelle vague d'angoisse s'installe parmis les rangs des aînés étudiants. 'De quoi je vais avoir l'air sur ma photo??'. Cette angoisse s'est installée quelques secondes après la prise de la photo fatidique et restera bien ancrée dans nos coeurs jusqu'au jours où nous recevrons la petite enveloppe de commande. Heureusement, cette angoisse m'est épargnée. Je fais partie des rares chanceuses ayant eu le temps de jeter un oeil sur le petit écran du photographe. Verdict: Elle est complètement ratée. J'ai l'air d'être une finissante du primaire. Mais bon! À quoi s'attendre. Après tout, c'est mettre ma face sur une photo. C'était prévisible. Trève de blabla sur un sujet aussi....blergh.

L'année est belle et bien commencée. Vous pensez probablement 'Iiih. Presque pas en retard la fille!'. Je veux dire, l'ambiance de l'année scolaire est installée. September et octobre sont des mois d'adaptation. Il y a une certaine fibrilité dans l'air, une incertitude qui plane au-dessus de nos tête. Elle est à présent dissipée. Nous croisons des filles pleurant dans les couloirs un peu partout, nous voyons des airs bêtes (et en faisons un certains nombre aussi), nous entendons des critiques peu flatteuse jaillirent d'un peu partout. Nous découvrons les 'dark side' de tout le monde. Les faces d'enterrement reprennent leur place parmis nos rangs. Et les élèves se pètent la tête contre les murs à l'idée des examens un peu stressant qui s'en viennent et des travaux à remettre le lendemain qui ne sont pas encore commencés. Respirons un bon coup, fermons les yeux, et plongeons dans cet univers qui nous enveloppera pour un petit huit mois tout chétif qui passera probablement trop vite.

mardi, octobre 24, 2006

L'angoisse pré-photographie

Demain, date fatidique. C'est la prise des photos des finissantes de l'esmc. Panique, angoisse et stress incommesurable parmis les rangs de la gente féminine. Moi y compris. Qui aurait cru? Les questions existentielle fusent de partout. Qu'est-ce que je vais mettre? Comment je me maquille? Comment vais-je me peigner? Quel sourire me difforme le moins la face? Quels bijoux je devrais porter? Et à ma grande surprise, je suis tout autant angoissée que toutes les autres. Faut croire que la dernière année à Marcellin-Champagnat m'a féminisée plus que je ne voudrais l'admettre. Me voilà parée de faux-ongles puisque mes vrais étaient en trop mauvais état pour les exposer sur le mur de l'école, en train de philosopher quand à savoir si je devrais mettre une jupe ou des jeans. Je me désespère. La normalité est en train de m'avoir à l'usure. Demain matin, je ferai partie des nunuches en train de se battre pour avoir une prise électrique pour le fer à friser. Je ferai partie de celle qui se morderont les lèvres aux sang à l'idée de me retrouver devant l'objectif de la caméra. Je ferai partie de celle qui se regarderont dans le miroir un million de fois dans la journée pour s'assurer que le maquillage est bien en place et qu'il n'y a pas une cheveux au mauvais endroit. Mais pire que tout, je ferai partie de celle qui essaieront de déceler la moindre parcelle de désaprobation quant à la tenue vestimentaire choisie.
Vieillir ne me va vraiment pas. (oui, je sais que j'ai à peine 16 ans)

vendredi, octobre 20, 2006

TGIF

Thanks God it's friday. Ce que nous avons pu l'attendre celui-là cette semaine. Premièrement, avertissement. Ceux qui me conaissent auront remarqués que ce blog n'est pas tout à fait moi. En effet, il ne comporte aucun chialage bien juteux. Ok, peut-être quelques-uns à bien y penser, mais aucun officiel. Voici donc mon premier chialage officiel.
Donc. Des semaines comme ça, ne m'en envoyer pas trop souvent s'il-vous-plaît. Les semaines de 5 jours après un congé de 4 jours sont habituellement déplaisantes. Encore plus lorsqu'on est un pauvre petit secondaire cinq. Et encore plus lorsqu'il pleut des projets tous plus imposants les uns que les autres. Les élèves ont les nerfs à vif (moi y compris), les profs semblent d'humeur aussi massacrante que la notre et la température décide de se rajouter au tout. Fantastique.
Comme si ce n'était pas assez, hier au travail, je me suis fait voler ma bicyclette. Rectification. Je me suis fait voler la bicyclette de mon grand frère. Merveilleux. Vraiment. Non seulement, je viens de perdre un bien ne m'appartenant pas et que je devrai rembourser mais en plus, je n'est plus de bicyclette fonctionelle. Ce qui veux dire que j'ai dû revenir du travail à pieds hier et aujourd'hui (j'ai trouver un lift pour m'y rendre aujourd'hui heureusement). Je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais il pleuvait hier. Un tout petit peu. Pour vous donner une idée, j'avais sur le dos un manteaux, une veste et un chandail et mon soutien-gorge était trempé. J'ai adoré.
De plus, le gros orteil de mon pied gauche a décidé de me narguer et de ne pas guérir. Niaiserie. Je suis sûre qu'il fait ça pour rire de moi.
Mais pour bien finir la semaine, il NEIGE!! Daccord, présentement, il ne neige plus. Mais c'était tout blanc tout à l'heure! Ça compense pour le reste.

lundi, octobre 09, 2006

Les plaisirs du torticolli

Dimanche matin, 7h30. Je me réveille, regarde le réveil matin de mon grand frère (le mien n'étant pas assez illuminé pour que je puisse lire l'heure de loin) et je me dis que pour un dimanche matin, il est bien trop tôt pour se lever. Je décide donc de me réinstaller confortablement pour continuer à dormir. Je me retourne donc, de manière tout à fait violente, comme je le fais d'habitude. C'est alors que j'entend un son ressemblant assez fidèlement à 'Krrrrrrrounch' provenant de mon cou, suivi d'une douleur assez déplaisante. Je me dis alors que ça va sûrement passer. Je me lève donc 30 minutes plus tard, incapable de trouver une position confortable dans mon lit (ben...celui de mon frère). La vérité me frappe alors: j'ai un torticolli. Je suis dans l'incapacité totale de tourner la tête vers la droite. Actuellement, pour être un temps soit peu confortable, il me faut légèrement pencher la tête vers la gauche, comme lorsque je lis. Très intéressant de passer une journée au complet dans cette position, vraiment. Et comme si ce n'était pas assez, mon torticolli m'empêchait aussi de lever mon bras gauche. C'est vraiment pationant essayer de se laver et peigner les cheveux sans pouvoir lever le bras gauche, ni tourner la tête vers la droite. Vraiment, des heures de plaisir.
Heureusement, il ne s'est pas trop attaché à moi. Je peux donc maintenant tourner la tête presque comme bon me semble. Et il n'y a pas que des mauvais côté à avoir un torticolli. Je ne me suis jamais tenu le dos aussi droit de toute ma vie. Espérons quand même qu'il partira déffinitivement avant mercredi. Je ne tiens pas à expérimenter un cours de karaté avec un cou refusant de tourner à droite.

vendredi, octobre 06, 2006

Freins, quand vous ne freinez plus.

Me revoilà sur mon petit blog, toujours vivante et en un seul morceau. Mais il aurait pu en être autrement! (la dramaturge en moi qui refait surface (je sais, dramaturge n'est pas le mot approprié. Mais je le trouvais chouette.)) Je vous raconte ma malheureuse histoire.
Lundi passé, je me dirigeais joyeusement vers mon cours de karaté à l'Acadie sur ma formidable bicyclette, comme je le fais quand je suis chez ma maman. Donc, arrivée au coin de St-Jacques et je sais pas trop quelle rue sur laquelle je dois tourner, je mets les freins pour ne pas tourner trop rapidement. C'est alors que j'entends un bruit de métal assez inquiétant et que je me retrouve à freiner beaucoup plus brusquement que prévu. Ma première pensée fut 'Ça y est, ma roue avant vient de lâcher. Je vais mourir.' Heureusement, j'avais tort. Ma roue avant est toujours à sa place et je suis toujours vivante. Cependant, il y avait bel et bien quelque chose qui clochait. Après avoir pris un bon 10 secondes pour me remettre du choc, je me suis rendue compte qu'il y avait quelque chose de bizarre dans ma main gauche. Et cette chose était mon frein avant, c'est-à-dire le seul frein fonctionnel de ma bicyclette. Et quand je suis descendue de ma bicyclette pour voir l'étendue des dégats, le frein est resté dans ma main. J'en est donc conclu qu'il n'était plus vraiment fonctionnel.
Certains d'entre vous pourrais se dire 'Pff! Tout ce blabla pour un simple frein!'. À ceux-ci, je conseille simplement de faire un aller-retour entre le Vieux St-Jean et le village de l'Acadie en passant par le chemin du Clocher, le soir, pas de frein. Ils changeront sûrement d'idée assez vite. Voilà mon histoire.

Petites pensées sans lien avec le sujet de la journée:

-J'ai eu mes 5 et demie de paye finalement. Je paniquais un peu pour rien.
- Un moka blanc, c'est bon, mais vachement dur à digérer avec une petite pastille gélatineuse à la menthe ultra forte.
-Si vous avez prévu prendre un volcan comme dessert chez Mikes, j'espère que vous avez un appétit d'ogre. Ou que vous avez une amie qui en a un.
Et pour deux personnes qui pourraient lire ce message et qui se reconnaitrons surement: c'est pas loyal d'utiliser la photo de secondaire un de quelqu'un sous prétexte que la personne en question a malencontrueusement été cachée sur une autre photo. Je protèste.
Voilà pour aujourd'hui. Bonne fin de semaine de la Thanksgiving! (désolée pour l'anglicisme. je trouve que ça fait plus festif en anglais qu'en français)

samedi, septembre 23, 2006

Oh. Pauvre petit blog délaissé. Il doit se sentir bien seul. C'est pourquoi je me suis dis quand ce pluvieux samedi soir de septembre, j'essaierais de trouver quelque chose d'intéressant à venir déblatterer. Je n'es rien trouver d'intéressant, mais ça ne m'empêchera pas de déblatterer quand même.
Je ne sais pas ce qu'ont mes professeur cette année, mais c'est quelque chose de plutôt déprimant. Il semble que tous les projets soient basé sur des thèmes tristes et lugubre. Vraiment. En français les livres à lire: Oscar et la dame rose. Un petit chou de 10 ans écrivant à Dieu douze lettres avant sa mort. Un dimanche à la piscine de Kigali. Récit se déroulant lors de l'homicide au Rwanda. Je crois que je n'est pas besoin d'en dire plus. Le compte de Monte Cristo. Ça en a peut-être pas l'air, mais c'est tout de même une histoire pas joyeuse ce truc. Le parfum. Je ne me souviens plus du résumé, mais je me souviens que c'est pas joyeux non plus.
En anglais: Catcher in the rye. Les trois pire journée d'un jeune homme qui a fini dans un hopital psychiatrique après une tentative de suicide. Romeo and Juliett. Je n'est pas besoin d'en dire plus. Life of pi. Un petit bonhomme vois toute sa famille noyée dans un accident de bâteau et se retrouve pris sur un canot de sauvetage avec un tigre, un hyène, un zèbre et un orang-outan. The weird incident of the dog in the night time. L'enquête d'un autiste sur la mort violente de son chien.
ECR: Nous voilà dans l'année philosophie. Les deux premiers sujet: Si vous deviez tuer un chiot joyeux ou un débile profond, lequel sacriferiez-vous?, et le deuxième consistait à choisir 5 personne sur une liste de 10 qui survivrais à la guerre nucléaire détruisant le monde. Poésie: Nous avons regarder La société des poètes perdus. Fin: Un des gars se tire une balle dans la tête. Théâtre: Il faut faire un sentier de la peur. Nous faisons un squetch dans lequel toutes nos amies ont été coupées en rondelles par un bûcherons fou et je me venge en le tuant.
Bref, l'année commence très joyeusement.
Frustration de la journée: J'ai perdu 5h30 de salaire pour avoir oublié de marquer mes heures sur la feuille. Grah.

lundi, septembre 11, 2006

11 septembre.

Simplement une petite pensée pour cette date tristement célèbre.

On n'oublie pas. Ou du moins on le prétend. On nous bombarde d'images à répétition soi-disant pour nous rappeler les événements. Peut-être essaie-t-on seulement de nous les faire accepter? Je ne prétendrai pas être affectée pas cette date. Je ne prétendrai pas prier pour l'âme de tous les morts qu'a causées cette tragédie. Je n'est même pas daigné ouvrir la télévision ce soir sachant pertinement que je serai lobotomisée par la face d'un président hypocrite prétendant être désolé pour avoir la cote auprès du public. Je n'en est pas besoin.

Je me souviens.

Association Sauvé Claire

Je fais à présent officiellement partie de l'Association Sauvé Claire. Non, Claire n'est pas malade et non, je ne suis pas assez mauvaise en orthographe pour écrire 'sauver' avec un É sans raison. L'association Sauvé Claire est une association étudiante (si on peut dire) composer de 10 jeunes (ça sonne vraiment comme une annonce de Tel-Jeune) qui s'occuperont un peu de la bibliothèque scolaire sur l'heure du midi. Le nom n'est pas encore tout à fait officiel étant donné la réticence de certains membres qui ne sont pas vraiment membres mais plutôt responsable du groupe, mais nous saurons les convaincre bien assez tôt. Je ne prétendrai pas que l'idée de ce nom provient d'un membres particulièrement inspiré du groupe car cela serait faux. C'est en fait notre très cher directeur adjoint qui avait lancé l'idée et Claire a eu le malheur de le répété en blague lors de la réunion. Pour vous qui me lisez et qui vous dites 'Es-tu supposée être drôle? Je la comprend pas....', je vais à cet instant vous éclairer. Mme la bibliothécaire s'appele Claire et monsieur le bibliothécaire que l'école a pas voulu appeler bibliothécaire mais a qualifié de technicien en documentation s'appelle monsieur Sauvé (me semble que ça sonne pas bien ça). Voilà donc la raison pourquoi nous avons trouver l'idée géniale. À présent, il ne manque plus qu'un slogan et un logo. Je vais m'y mettre dès ce soir. Ou demain.

vendredi, septembre 08, 2006

De retour au 21 ème siècle

Après une petite pause école, me revoilà sur mon cher petit blog (actuellement, je ne suis pas vraiment dessus, parce que ça pourrait être compliqué, mais vous comprenez...j'espère). Mais il y a plus! J'utitlise présentement le nouvel ordinateur tout frais que nous avons reçu chez mon papa! J'ai même pu installer msn dessus! C'est incroyable. Je l'adore! Il est trop fantastique. D'accord, c'est un Dell et c'est très probablement une arnaque. Mais bon. Ça fait du bien de naviguer sur un ordinateur compétent.
À présent, résumé de ma première vraie semaine d'école.
Français: je reviens sur mes méchantes pensés du début. La prof n'est pas si mal après tout.
Anglais: rien à dire. C'est chouette et le prof m'aime bien, alors pas de problème.
Économie: pas ma matière préférée, mais je devrais survivre.
Théâtre: génial! Ça prendra un peu de temps pour s'adapter au groupe, mais sinon, j'adore.
Poésie, tout à fait génial.
Chimie: si je deviens chauve avant la fin de l'année, ce cours en sera probablement la principale raison.
Éducation physique: Pas trop mal. Je suis une nulitée (nullitée? nullité?) totale, mais c'est bien de bouger un peu une fois de temps en temps.
Mathématique: La seconde principale raison si je me retrouve chauve. Ou probablement la première. Mais j'arrêterai ici les commentaires. Je n'est point le temps d'écrire une encyclopédie ce soir.

mercredi, août 30, 2006

Jour J

Vous aurez (j'espère) deviné que je parle de la rentrée scolaire et non du débarquement de Normandie. Comme je ne veux pas trop vous casser les oreilles, je me contenterai de dire que somme toute, ce n'était pas si mal comme premier jour en temps que secondaire cinq. C'est tout de même fou à quel point les pauvres petits chous de première secondaire semblent mignons cette année. Il me semble que l'an passé, je ne les remarquais même pas. Mais aujourd'hui, j'aurais donné des câlins à une bonne vingtaine de ces pauvres petites faces complètement perdues. Je me suis tout de même retenue. Je ne veux quand même pas les faire fuir. Sacrilège! Je n'est même pas poser les pieds dans ma très chère bibliothèque. Pauvre chose. Mais je suis certaine qu'elle ne s'est pas sentie trop délaissée. Du moins je l'espère....parce que si une bibliothèque d'école se sent délaissée, je vais commencer à me poser des questions.
Points positifs de ma journée:
J'aime bien l'emplacement de mon casier.
J'aime beaucoup les livres que nous lirons en anglais.
J'ai adoré le cour de poésie.
J'ai à présent le droit de délaisser le terrain de l'école sur l'heure du midi.
Mon autobus passe plus tard le matin
Il n'y a plus de liqueurs *frisson* à l'école.
J'ai des crayons colorés absoluement adorables
J'ai pu frapper mes deux professeurs de karaté aujourd'hui
Points négatifs de ma journée:
Je suis bien partie pour couler mes maths. *censure de chialage contre professeur*
Mes souliers sont atrocement (et j'ai bien dis atrocement) inconfortables.
La couleur qu'ils ont mis dans la cage d'escalier près de mon casier (sincérement, pêche-saumon et vieux vert pomme, ça va pas du tout)
Ma prof de français. Elle a fait une faute inacceptable sur la lettre au parents.
Mes deux profs de karaté s'acharnent à me faire faire du combat.

lundi, août 28, 2006

Ils ne sont plus.






De grandes pertes sont survenues dans le monde dernièrement. Je ne l'ai appris qu'aujourd'hui, mais notre très cher Fernand Gignac est trépassé il y a une dizaine de jour à l'âge vénérable de 76 ans. C'est une grande contribution au patrimoine artistique québécois qui est disparue avec lui. Bien que ne connaissant pas toutes ses chansons et ne pouvant pas même nommer un de ses titres correctement, je me devais de souligner cette perte affligeante.

Avec quelques jours de différence, Claude Blanchard est allé rejoindre son grand ami précédement mentionné dans ce message. Une autre grande perte dans le patrimoine artistique québécois. Entre autre chanteur de cabaret, acteur de grand renom, danseur de claquettes, il aura pleinement vécu sa vie. Je lui lève mon chapeau et lui souhaite un repos bien mérité.

La dernière mais non la moindre. Ma petite chérie, ma planète adorée. Pluton n'est plus. En fait, elle est encore. Mais un paquet de bonshommes barbus se déclarant scientifiques ont décidé qu'elle ne serait désormais plus considérée comme planète. Pauvre chose. Je trouve tout cela particulièrement injuste. Est-ce que quelqu'un lui a demandé son avis? J'en doute. Selon moi, c'est simplement une frustration refoulée d'être incapables de se rendre jusqu'à elle qui a causé cette décision malheureuse. Très chère Pluton, je me souviendrai toujours de toi.

dimanche, août 27, 2006

La pluie est mouillée.

Il est présentement 22h55 (22h40 sur l'horloge détraquée de mon pitoyable ordinateur) et la pluie semble avoir décidé d'arrêter de nous tomber sur la tronche. Bien entendu, elle décide cela maintenant que je suis calmement assise dans le salon de mon popo sans aucune intention de retourner dehors avant demain. Pour vous qui n'avez pas pointé le nez à l'extérieur aujourd'hui, je vais vous donner une petite idée du sympatisme de la pluie en cette merveilleuse journée d'août (sommes-nous vraiment en août aujourd'hui? j'opterais plutôt pour octobre....). Ce midi, j'ai décidé d'aller dire un petit bonjour à ma momo, et de vérifier par le fait même si mon sleeping bag pour Cuba était fonctionnel. Il pleuvait un peu, mais rien de catastrophique. Après m'être fait frapper à coup de cadenas de bicyclette par mon petit fréro (c'était accidentel, il est pas si violent..d'habitude), je décidai de revenir chez mon popo, en me disant que si la température restait comme cela toute la journée, ça n'irait pas trop mal. La température n'est point restée comme cela. C'est donc avec un soupçon d'exaspération que j'ai dû enfourcher ma bicyclette à 15h30 cet après-midi pour mon rendre à mon travail. Tout ce que j'en dirai, c'est que mes vêtements sont encore mouillés. Bien entendu, une fois arrivée à destination, la pluie s'est calmée. Et si ce n'est qu'un petit regain de vie vers 5h20 (heure où ma compatriote de travail décida de se diriger vers chez elle), la pluie ne se fit presque pas voir du reste de la soirée.
Whoa...tout ça pour parler de la température. J'étais inspirée ce soir!
Demain: Direction l'école avec ma merveilleuse bicyclette et mon sac à dos plein à craquer pour aller rencontrer mes nouveaux livres et sympathiser avec mon nouveau casier.

mercredi, août 23, 2006

Fadaaaa.

Oui je sais, mon titre n'est pas très inspiré. Mais comme je n'ai que 20 petites minutes sur ce merveilleux ordinateur de la bibliothèque, je ne perderai pas de temps à essayer d'en trouver un potable (je parle du titre là).
Le jour tant redouté approche à grand pas. Beaucoup trop grand à mon goût d'ailleurs. J'ai déjà dû aller faire un tour sur la propriété de l'école hier. Et je devrai y retourner chercher mes souliers ce soir. Heureusement, le tout se déroule dans le gymnase arrière. Je n'est donc pas eu à entrer dans la bâtisse elle-même. Mais ça ne saura tarder. Il s'agit aujourd'hui de mon dernier mercredi de congé. *pleure dans son coin* Mercredi prochain, la rentrée officielle aura lieu. Je serai officiellement en secondaire 5. Mon pauvre petit cerveau y survivra-t-il? Voilà une réponse que nous ne tarderons pas à découvrir. En attendant très chers compagnions, profitez bien de vos derniers instants de paix. Ils vous manqueront bien assez tôt.

mercredi, août 16, 2006

Mes yeux sont des kiwis rouges

Je crois que le titre explique bien la situation. Daccord, c'est peut-être un peu exagéré. Ils n'ont pas encore tout à fait la forme d'un kiwi. Mais ça ne saurait tarder. Merci à mes adorables allergies de me faire vivre cette expérience si pationante (je me suis toujours demander si ça s'écrivait bien comme ça...guh...le dictionnaire est trop loin). Me voilà donc enveloppée dans la couverture si comfortable de mon grand frère (il m'a au moins laissé ça en compensation de tous mes meubles avec lesquels il est parti), la boite de kleenex à portée de main, en train de chanter de ma voix de casserole enrhumée les merveilleuses chansons de Pierre Lapointe. Chansons que j'avais d'ailleurs envisagé chanter au Show 2007 de notre adooorable école. Mais n'ayant crainte! Depuis mon arrivée au secondaire que j'envisage passer les auditions pour ce show annuel (qui change de nom à chaque année pour suivre l'évolution du temps) et ce n'est jamais arrivé. Vos oreilles seront donc sauves encore cette année.
Sur ce, je vous laisse. Je dois trouver un moyen de maquiller les kiwis rouges.

samedi, août 12, 2006

Du monde chouette 2.1


Dans ma lignée de monde chouette, je vous présente ma meilleure amie: Sally! (ou Kim, pour le monde normal). En passant, c'est celle à votre droite sur la photo (photo particulièrement vieille je doit dire). Que dire de cette fantastique rouquine? Elle est arrivée dans ma vie à un moment où j'en avais vraiment besoin. On s'est aidées mutuellement, nos cerveaux se complétant à la perfection. Lorsque que placées en équipe, aucun problème de français ou de math ne pouvait nous résister. On pourrait croire que deux caractères explosifs ne font pas bon ménage. Et bien on aurait tort, ou du moins concernant nos caractères. On se complète tellement bien que quand moi je suis en rogne, elle est calme est sait me calmer, et quand elle a le goût d'arracher des têtes, je sais (habituellement) l'en empêcher. Elle est probablement la seule à réussir à me faire manger quand j'oublie malencontrueusement de le faire. Elle est une artiste accomplie malgré son jeune âge (ok, elle a le même âge que moi. Et?) et elle n'a pas peur de dire ce qu'elle pense (quand elle le veut bien). C'est extrémement dommage que le destin (ou tout simplement les écoles) nous ai séparées, mais malgré le fait qu'on ne se parle presque plus et que l'on se voit encore moins, il y aura toujours une petit place (assez grosse dans le fond) dans mon coeur pour ma Sally adorée! (uh uh....ça sonnait comme une déclaration d'amour ça...)

D'autre livreuh

Voila donc une deuxième liste de livres que j'ai lus dernièrement. Malheureusement, je suis sûre que j'en ai oublié. J'avais fait une liste la semaine passée, et je l'ai perdue. Mais bon. Voilà la liste. La note est donnée sur 5 étoiles, 1 étant 'guuuh, trop mauvais' et 5 étant 'Gaaah! Trop malade!'.

Le viol de Marie-France O'Conor ** : Pas fameux du tout. Je ne le recommenderais pas à personne. Le style d'écriture est pas génial, c'est écrit un peu confusément, l'histoire est sans intérêt, bref, pas grand point positif pour ce petit livre québécois.

L'alchimiste ****: Très bon livre, je trouve. Porte beaucoup à la réflection, fait passer des principes de philosophie au travers d'une histoire somme toute assez intéressante.

Et soudain le silence ***: Pas mauvais. Le style d'écriture intéressant, l'histoire aussi. Malheureusement, l'auteur a essayé de mettre trop de péripécies dans un seul livre. On y perd un peu l'histoire 'principale'.

La vie à mort ****: J'ai bien aimé (il me semble). J'ai toujours aimé les livres basés sur des journaux intimes et des faits vécus.

Confidence d'un toxicomance ***: Pas mauvais. Cependant, le titre n'est pas vraiment approprié selon moi. L'histoire est un peu banale, mais tout de même intéressante.

Végétariens mais pas légumes **: Bof. Intéressant, mais un peu trop 'preachers'. Ils sonnent presque comme une secte satanique essayant désespérement d'avoir de nouveaux adeptes.

On n'est pas sérieux quand on a 17 ans ****: Très intéressant. J'aime bien le style d'écriture, le sujet m'intéresse. Et...c'est pas mal ça.

Le dernier des elfes ***: Un autre de Christopher Lambert. Si il n'avait pas volé le scénario de toute pièce du dernier des Mohicans et qu'il ne sonnait pas comme un adolescent enthousiaste d'avoir enfin fini le Seigneur des Anneaux pour la première fois, j'aurais beaucoup aimé ce livre.

The Lord of the Ring, the fellowship of the ring *****: Un classique, un must. Je me devais de lire la version anglophone de ce chef-d'oeuvre de la littérature. Finalement, c'est moins dur à lire que je ne l'aurais cru. Le fait que j'ai lu la version francophone au moins quatre fois aide probablement à ma compréhension, mais bon.


Voila donc ma petit liste pour l'instant. Pardonnez-moi toutes les fautes d'orthographe. Mon cerveau semble plutôt engourdi ces temps-ci.

vendredi, août 04, 2006

Livres

Le message qui suit n'est qu'une expression de ma frustration après avoir passé plus de 2 heures et demi à gosser (pour utiliser le terme exact) après des putains de livres (qui ont l'air particulièrement plates soit dit en passant) pendant la soirée d'hier. Je vous demanderais donc de ne point en tenir compte. Ou d'en tenir compte sans tenir compte des petites vulgarités qui pourraient se glisser par hasard dans mon petit vocubulaire d'étudiante attardée.

Ce message s'adresse donc à tous ceux qui envisagent devenir bibliothécaire un jour. Si vous avez prévu un jour vous débarasser de certains de vos livres usagés dans des librairies de livres usagés, tel le Colisée de livre, situé au 747 rue Saint-Jacques a St-Jean-sur-Richelieu, prière de suivre les indications suivantes consernant les petites enveloppes sur lesquelles vous indiquez la date de remise:

1) Ne pas utiliser de colle assez résistance pour servir lors de la construction d'abri anti-tornade. C'est inutile. Et particulièrement frustrant pour la pauvre vendeuse qui se voit dans l'obligation d'essayer de décoller l'enveloppe puisque sa boss lui a gentiement demandé.
2) Ne pas coller la putain d'enveloppe sur une page où, au verso, il y a de l'écriture. Étant donné qu'il semblerait que la règle un ne fut pas respectée très souvent, il en résulte que la vendeuse fut dans l'obligation d'arracher bon nombre de pages, où il y avait malheureusement de l'écriture, en espérant que sa boss ne remarque rien lors de l'étiquettage.
3) Ne mettez pas 2 enveloppes par livres. Encore une fois, c'est inutile. Et frustrant.
4) Vous n'avez pas besoin ,pour fixer l'étiquette avec le nom de l'école, de mettre un papier collant faisant deux fois le tour du livre.

Voila donc pour mes conseils de la journée. Prière de les faire parvenir au/à la/ aux biliothécaire(s) de la Polyvalente Marcel Landry.

mercredi, août 02, 2006

Toujours à St-Damase

Me voilà donc, en cette troisième journée dans cette merveilleuse...place. Hier, j'ai eu la honte de ma vie. C'était absoluement atroce. D'ailleurs, je vous comprendrais totalement si vous décidiez de me renier après avoir appris ce que j'ai dû faire. La mère des petits shmoux est arrivée très tôt, et elle a donc décidé de nous amener manger au restaurant et magasiner un peu. Jusque là, pas trop mal vous direz. Mais ce qui est mal, c'est l'endroit où nous avons fait ces deux activités qui semblent si banales. Nous sommes allés manger du MacDonald. Dans un Wal-Mart. *s'enfuit en courant pour pleurer dans un coin* La honte de ma vie je vous dit! Premièrement, je renie le MacDonald et je me suis dit il y a de cela un peu plus d'un an que je ne mangerais plus dans ce junk-food . Mais les deux shmoux avaient l'air très enthousiastes à l'idée de manger là, et je me voyais mal dire 'Non. Je refuse de manger dans cet endroit'. Ensuite, j'ai renié Wal-Mart aussi. Par contre, j'ai relativement tenu ma promesse. Je n'est rien acheté du tout. *essuie ses larmes*. Mais pour me consoler, nous avons eu droit a un orage magnifique! Je crois que je n'en avais point vu d'aussi spectaculaire depuis 1998. Les chapiteaux dans le parc en arrière l'ont peut-être trouvé un peu moins drôle par contre. Bref, nous voilà mercredi, et je suis toujours vivante!

lundi, juillet 31, 2006

Saint-Damase

Me voila donc, live, de cet énorme centre cosmopolitain qu'est la ville de Saint-Damase (demandez moi pas c'est où, j'en ai aucune idée). Vous me demanderez probablement 'Mais kessé tu fou dans ste trou laaaaa?' (emphase sur le laaaaa pas d'accent parce que le clavier est comme ceux de l'école et que je retrouve plus l'accent pour le a). Et bien j'en est aucune foutue idée. Actuellement, je garde. Mais bon. Ça, c'est des détails. J'ai donc survécue à ma première journée, de justesse d'ailleurs. Ce n'est point deux adorables petites filles comme je le pensais, mais deux petits garçons démoniaques qui s'amusent a s'engueuler et à se frapper aussitôt qu'ils sont en désaccord. Ce qui arrive assez régulièrement je dois admettre. Et j'ai failli laisser une partie de ma main sur le haut de la cloture qui sépare le parc de leur bloc. Actuellement, je suis sûre qu'il doit y rester un petit bout de peau. Je savais en escaladant cette barrière que c'était une mauvaise idée. Encore plus rendue en haut avec les adorables pics me rentrant agréablement dans les jambes. Et j'en fut convaincue en regardant ma main arrivée en bas. Je ne peux pas dire que ça faisait mal. Mais je me suis dit en la regardant 'Putain. Ça, ça va faire mal. Bientot.' Ce qui arriva 30 minutes plus tard. Ne vous en faites pas, je ne suis pas morte. Même pas vraiment blessée. Mais ma pauvre main est défigurée. Et, comble du malheur, ma montre est fichue. Elle fut attaquée par la clôture elle aussi. Mais bon. Je suis toujours vivante. Et je fut vaccinée pour le tétanos l'an passé alors je n'est rien à craindre. Et le plus jeune (qui a donc 6 ans) est en amour avec moi. Quoique je ne suis pas convaincue que le dernier point est vraiment une bonne nouvelle.
Je vous reviendrai avec de nouvelles nouvelles live from Saint-Damase bientôt! (si je survie)

dimanche, juillet 30, 2006

Pas d'idée potable de titre

Première nouvelle de la journée: Ça y est. Mon grand fréro chéri est en route vers son nouvel appartement, avec mon set de chambre que j'étais supposée garder pour moi seulement. Je suis allée chez sa dulcinée les aider à descendre ses boîtes (je crois d'ailleurs que mon dos s'en fera ressentir bien assez tôt.). Étrangement, il n'avait pas l'air très content à l'idée que je le remplace par un hamster...Bref, mon grand frère parti, nous verrons bien ce qui arrivera de la merveilleuse situation familiale.
Deuxième nouvelle de la journée: L'ordinateur de mon grand frère est parti à Sherbrooke lui aussi. Oui, je sais. Je suis une accro de l'ordinateur, blablabla, je devrais faire autre chose de ma vie, blablabla. Je sais. Épargnez donc votre salive (ou votre clavier). N'empêche que lorsqu'on à été un peu plus d'un an avec un ordinateur presque performant et qu'on se retrouve avec un ordinausore dans le genre de celui sur lequel je suis en ce moment, le choc est dur. D'autant plus que mon précieux msn m'a été arraché cruellement (l'ordinateur étant trop faible pour avoir la nouvelle version de msn, il m'est impossible de clavarder avec tous mes chers namis internetiens).
Troisième et dernière nouvelle: J'ai revu France! Mon adorable France que j'adore plus que tout (même plus que l'ordi à mon frère). Ce fut merveilleux, quoique beaucoup trop court. Je m'ennui déjà. Surtout quand je me dis que je ne pourrai pas la revoir avant les vacances de Noël *pleure un peu dans son coin*. Elle est fantastique. Et nous avons fait des plans toutes la fin de semaine. Malheuresement, je ne pourrai vous en faire part ici de peur que mes parents se souviennent que j'ai un blog et décident d'aller y jeter un coup d'oeil. Je préfère me faire tuer seulement l'été prochain.
Sur ce, je dois partir vers mon adorable boulot (AHEM). Bonne journée.

vendredi, juillet 28, 2006

Du monde chouette 1.1


On m'a fait remarquer que je ne parlais pas beaucoup de mes amis. Donc, j'ai décidé de faire des tits billets du monde chouette que je connais. Donc, la drôle de binette que vous voyez sur cette photo porte un nom qui se nomme Steven. On a commencé à se parler il y a environ 2 ans je crois....non. Moins que ça. Environ. En tout cas. Je l'ai rencontré la semaine passé pour la première fois. Oui oui! Je sais ce que vous allez dire. 'Quoi? T'as rencontré en vrai un mec que t'as reonctré sur internet??' À cela, je ne répondrai que 'Ben oui'. Les risques qu'il soit un vieux pervert dégueux étaient plutôt mince. Premièrement, on s'était vu plus d'une fois sur nos merveilleuse webcam (ben, la merveilleuse webcam de mon frère et celle d'une de ses amie pour être plus précise). Deuxièmement, on s'était déjà parler au téléphone. Et troisièmement, il venait me rejoindre directement chez ma mère, où l'attendaient moi, mon frère et ma maman. Dooonc, on s'est bien amusé. Il a découvert qu'il n'a aucun moyen de me faire réagir si j'ai décidé que je ne réagissais pas. C'est un peu décevant car nous n'avons pas pu faire tout ce que nous avions prévu (genre, faire du kayak, lui faire mettre une jupe, me faire des pics dans les cheveux avec de la cire, aller boire une corola avec une tite limette dans l'usine désafectée), mais ce fut plaisant quand même. J'ai réussi à le faire chanter sur le karaoké (mwuhahaha). Bref, ce petit mec au cheveux plus dur que le ciment est très sympathique même s'il habite à Disraeli! (j'avais plein de truc chouette à dire mais j'ai pas d'inspiration ce soir)

vendredi, juillet 21, 2006

Mes nouvelles compagnonnes.


Premièrement, oui, je sais que compagnonne n'est point un mot qui existe réellement. Mais je trouve que compagne sonne pas bien. Donc, voici mes nouvelles amies, celle qui devront à présent me suivre un peu partout, si je le veux bien. Malheureusement, 9 ans de lecture intensive plus quelques années de regardage d'écran d'ordinateur tout aussi intensif n'est pas sans danger pour les yeux. Me voilà donc affubler, pour la deuxième fois, de lunettes qui viendront prendre place sur mon petit nez lorsque j'en ressentirai le besoin. Les commentaires à leur sujet ne sont pas particulièrement encourageant, mais bon! Nous nous y ferons. Le premier commentaire fut ' Ooooh! A nerdie Z...You look like a business woman with that!'. Ai-je besoin de préciser qu'à l'âge presque vénérable de 16 ans, on ne tient pas vraiment à être avoir l'air d'une business woman nerd? Bref. Le deuxième commentaire fut 'HAHAHAAAAAA!!!!', mais cela référait plutôt à la face que je faisais sur la photo et non aux lunettes, ce qui est déjà un peu mieu. Le troisième et non le moindre vient de mon adorable petit frère, me qualifiant 'd'air de bibliothécaire frustrée' ou de 'surveillante de l'esmc'. Ouch? La bibliothécaire frustrée, ça passe toujours. Mais la surveillante? Oh laa. C'est souffrant. N'empêche que je ne déteste pas mes nouvelles amies. On dirait que le monde nous regarde plus dans les yeux quand on porte des lunettes. Ou peut-être est-ce seulement parce qu'on les voit enfin....bref! Si elles peuvent arrêter de me donner des mal de tête plutôt déplaisant, je pourrais peut-être bien les porter régulièrement. Si je ne les perd pas.

jeudi, juillet 20, 2006

Livreuh.


Comme vous l'avez peut-être deviné (et si vous l'avez pas fait, vous êtes vraiment poche), le billet daujourd'hui sera à propos des livres. Non pas des livres qui nous font sursautés lorsqu'on regarde la balance, mais bien de ses merveilles de feuilles de papier pleines de mots assemblés pour créer des chef-d'oeuvre de la littérature. Ok, pas tous des chef-d'oeuvre de la littérature mais vous avez compris le principe. Les livres sont mes meilleurs amis depuis que j'ai environ 7 ans et le seront probablement pour encore longtemps. Malgré le fait qu'ils me massacrent lentement les yeux, il n'en reste pas moins que je suis totalement dépendante à la lecture. Voici donc la petit liste de livres que j'ai lu jusqu'a date depuis le début de l'été. Je suis consciente qu'il m'en manque, mais je ne peux me rappeler lesquels. (face triste)
-Briser le silence: Pas mauvais. J'adore pas, mais c'est pas mauvais.
-Girl, Interrupted: Plutôt bon. Je m'attendais à meilleur, mais quand même.
-How to be real in just one day: J'ai adoré! L'histoire est super bonne, j'ai beaucoup aimé le style d'écriture. Bref, un coup de coeur.
-Ataraxie: Agréable surpise. J'ai beaucoup aimé ce petit roman québécois qui ne m'inspirait pas tellement au début.
-Chez moi: J'ai aimé l'histoire, mais pas le style d'écriture. Disons 7.5/10
-L'alchimiste: Je ne l'est pas encore fini. Mais jusqu'à date, c'est plutôt bon. Pas mon livre préféré, mais déffinitivement pas mauvais.
-Marie suivait l'été: J'ai pas aimé. L'histoire est banale, et l'écriture n'a pa réussi à la rendre plus intéressante.
-Le petit Prince: Un grand classique qui manquait amèrement à ma culture personelle. Rien de négatif à dire à propos de ce chef d'oeuvre.
-Un dimanche à Kyoto: Petit livre très mignon de contines pour enfant. J'aurais voulu pouvoir écouter le cd cependant.
-The littlest Angel: Petit livre absoluement adorable pour enfant. Être maman, c'est probablement le premier livre que j'acheterais à mon enfant.
-La fonte des neiges: Pas aimé du tout. Tellement pas aimé que j'ai pas réussi à le finir. Trop confus, pas assez intéressant.

Ça, c'était pour les livres lus pendant la job. La liste des autres est beaucoup plus petite. Faut savoir que je travaille 4 jours semaine depuis 3 semaines dans un librairie de livres usagés. Voilà.

mercredi, juillet 19, 2006

Mon groupe théâtreu préféré


À la droite de ce petit texte que je suis présentement en train d'écrire et que dans un futur proche vous serai présentement en train de lire se trouve une image. Oui oui! Je vous le dis. Il s'agit d'une image de mon adorable groupe de théâtre de l'an passé. De gauche à droite: Josianne, Geneviève Verte, Marianne, Mouah, Kim, Geneviève Frisée, Samuel en train d'étrangler Géraldine (c'est pas sa faute si elle s'appelle comme ça), le dessus de tête de Karl qui se cache et Alexis. Il manque donc notre très cher mentor, Mathieu, et notre petite Alexandra qui est juste pas là. C'est le groupe le plux chouette de théâtre qu'il m'est adonné d'avoir connu (et même plus puisque j'étais dedans). Malgré quelques légers mésentendus qui ont failli éclaté en guerre nucléaire, la pièce de fin d'année nous a, pour une fois, rapprochés, de tel qu'on en a presque pleuré à notre dernière représentation.

lundi, juillet 17, 2006



J'avais prévu faire un billet à propos de mon nombril, mais l'inspiration me manquait. Donc, voici une photo prise au sommet du mont Orford, au mois de juin 2006 si je me souviens bien. Vous ne pouvez malheureusement pas voir l'intégrité du groupe, puisque nous n'étions pas tous arrivés à destination à ce moment. Ce fut une journée bien plaisante, beaucoup plus plaisante que celle à St-Hilaire dont je ne parlerai pas puisque ça me tente pas. Bouetteuse à souhait, j'en est même perdu un soulier . Je n'est pas vraiment de talent en montage de montagne, mais c'est tout de même un expérience merveilleuse que de se balader joyeusement dans un dédale de racines, de roches, de bouette, et autre jusqu'à atteindre le sommet où l'on ne voyait rien du tout à cause du brouillard. Tout de même. Dans le fond, je n'est pas tellement plus d'inspiration pour cette photo que pour celle de mon nombril, donc je vais vous laissez admirer le paysage en paix.

dimanche, juillet 16, 2006

Coup de coeur

Coup de coeur, coup de foudre, ou tout simplement coup trop violent donner par mon petit frère qui a dérégler temporairement mon cerveau, le fait est que Pierre Lapointe et sa musique m'ont totalement charmée. Vous aurez donc devinez que la jolie tronche qui surplombe ce texte est celle de Pierre Lapointe. Je l'est découvert grâce à mon petit tchiko, que je remercie énorméement d'ailleurs. Un seul regard à son vidéoclip Deux par deux rassemblés a suffi pour me convaincre que cet artiste est totalement extraordinaire. Je dis artiste parce que ce n'est pas seulement un chanteur. C'est bel est bien un grand artiste. Différent, créatif, talentueux, et pas laid du tout, il a tout pour réussir, ce qu'il fait d'ailleurs avec panache depuis la sortie de son premier album. Bref, après avoir écouté son vidéoclip deux fois, j'ai acheté son premier album sans une hésitation (ce qui est quand même épatant pour une non-acheteuse de cd comme moi). Je prévois acheter son deuxième cd demain et me prendre un billet pour son prochain spectacle à St-Jean. Me voilà donc totalement junkie de sa musique unique, et totalement fière de l'être.

samedi, juillet 15, 2006

Portrait de famille 2.1


Pour ceux qui se demandent 'Pourquoi donc 1.1 s'il n'y aura pas de 1.2?', et bien la réponse est tout simplement que je trouve ça plate de marquer un 1 tout seul. Donc, voici Skouimisk, mon grand fréro qui semble perdu dans un océan de noir depuis que j'ai effacer la tronche de son ami qui se trouvait à sa gauche. J'aimais pas sa face. Mais je lui es laissé la bouteille bleue! Elle me semble sympathique. Donc, revenons à mon fréro. Mlaheureusement, sur cette photo on ne peut pas voir sa crinière. Mais il a les cheveux presqu'aussi long que les miens! Oui oui. Même que je croyais que ses cheveux étaient plus long depuis que je me les suit fait couper (un tout ti peu), mais ce n'était qu'une illusion d'optique! Mon cher grand fréro avec qui je m'entend finalement bien, après des années à souhaiter le décapiter de manière violente. Un autre humoriste dans l'âme, théâtreux jusqu'au os, environementaliste qui jettent ses petits pots de yogourt au poubelle, voilà un autre fréro pour lequel je ne trouverai jamais assez de mots pour le décrire fidèlement. Maintenant rendu à 20 ans, on pourrait presque le considéré comme une adulte responsable...ok, peut-être pas responsable. Mais ce grand sage à la crinière de blé s'envolera de ses propres ailes dans un peu moins de 17 jours et ira s'installer à Sherbrooke avec sa tendre moitié. Lui, ses cheveux et son ordinateur me manqueront beaucoup. Mais nous devons laisser voler les oiseaux de la terre, comme le dirait si bien une chanteuse québécoise dont je ne me souviens pas trop du nom. Actuellement, elle dit pas vraiment ça. Mais à peu près. Je pense.

Portrait de famille 1.1


J'ai donc décidé de faire un petit portrait de ma merveilleuse famille. Vous pouvez donc appercevoir au dessus de ces mots la tronche de mon petit frère. Oui, je dit petit même s'il mesure un peu plus de 6 pieds et que je n'en fait que 5'6". La vie est cruelle. Je sais, en ce moment vous êtes en train de vous dire 'Whoa! Mais quel merveilleuse photo que celà! Qui est donc l'artiste qui la faite?' À cela, je vous répondrai tout simplement 'La webcam que j'ai achetée à mon grand frère pour Noël. Et bien sur, mon propre talent est venu ajouté un cachet unique à ce chef-d'oeuvre en l'éditant grâce au logiciel photostudio de mon grand frère (vous aurez devinez que je me sers de l'ordinateur de mon grand frère en ce moment précis)'. Bref, revenons à nos moutons, ou plutôt nos Tchiko puisque ce billets est supposé lui être dédié. Petit (plutot très grand mais ça sonne mal dans une phrase) humoriste dans l'âme, malgré sa tronche de tueur en série (et sa carrure), il est au fond un coeur tendre. Si vous avez des cheveux, courez. Si vous n'en avez pas, courez quand même. Comme un gros teddy bear sympathique, il a un grand coeur et aime faire des câlins. Cependant, il n'est pas encore tout à fait conscient du fait qu'il pourrait défoncer la cage thoracique de quelqu'un en lui donnant une pichenotte. J'en aurais encore beaucoup à dire, mais je crois que même une encyclopédie illustrée en 15 tomes ne pourrais vraiment décrire avec exactitude mon petit Tchiko chéri.

vendredi, juillet 14, 2006

Introduction

Je me sentais un peu seule sans un blog francophone dans lequel écrire mes annodines annectodes, alors je me suis dit 'Pourquoi ne pas en faire un?' (et oui, j'ai des pensés particulièrement recherchées ces temps-ci). Après tout, il semblerait que tout le monde se soit approprié un petit espace du web (je parle de blog là). Même le biliothécaire de mon école en a un! (quoi qu'il ne compte pas vraiment comme bilibothécaire mais bon.) Donc, voilà mon propre blog! Je vais probablement l'avoir délaissé avant le mois de septembre, mais nous oublierons ce petit détail pour l'instant et ferons comme si cet endroit présentait un quelconque intérêt pour quelqu'un. Donc, ce message fera office d'introduction à ce merveilleux blog que je m'approprie avec délectation à l'instant. Voilà.