Je me suis dis en m'installant devant mon écran aujourd'hui que je devrais écrire un petit quelque chose sur mon charmant petit blog délaissé. Mais quoi? Je pourrais parler de mes petits schmoux et mes petites shmouxes du camp, mais c'est déjà fait. Je pourrais vous parler de mes arrangements floraux (oui, vous avez bien lu. Arrangements floraux.) ou des clients grincheux de chez Bouclair mais j'aurais peur de briser le secret professionnel qu'on nous a imposer sur une trentaine de page dans notre contrat. Je pourrais vous parler des péripécies de notre cher Guirda, mais ça serait vraiment trop long pour un seul message. Je pourrais vous parler de notre visite à l'exposition agricole de Saint-Hyacinte mais ça serait vraiment trop plate. Je pourrais aussi vous parler du retour en classe qui approche beaucoup trop vite mais je me metterais probablement à pleurer et c'est pas bon pour un clavier.
Je me contenterai donc de dire que j'ai fini de lire le dernier Harry Potter, et qu'il en vaut vraiment la peine. Je vous laisse maintenant, je dois aller faire mon deuil de cette série de livre qui m'a suivie depuis que le Noël de mes 11 ans. Tragique, non?
lundi, juillet 30, 2007
jeudi, juillet 19, 2007
Pas déjà
Cette semaine, en lisant parcourant d'un air endormi mon publi-sac, j'ai eu une désagréable surprise. Plus que désagréable en fait. Le genre de surprise qui donne le goût de faire brûler le dit publi-sac (ce que je n'ai bien entendu pas fait, question environement). L'autobus jaune a déjà fait son apparition dans le haut de nos panflets publisac-iens. Cet autobus jaune qui nous annonce que les magasins vont déjà commencer à nous rabattre les oreilles en nous rappelant dans toutes leurs annonces que la rentrée des classes arrive à grands pas! Comme si on le savait pas. C'est peut-être moi qui est pas vite, mais ça, c'est vraiment trop vite pour moi. Les soldes d'été ont commencé il y a deux semaine (c'est-à-dire à la première semaine de juillet), le stock d'automne est déjà rentré un peu partout et on nous annonce la rentrée des classes à la mi-juillet. Ils pourraient pas nous laisser profiter un peu de notre été? Un tout petit peu?
samedi, juillet 14, 2007
Mes petits schmoux
Cela fait maintenant 3 semaines que je cotoie mes petits shmoux du camp de jours. Je peux donc à présent en parler en conaissance de cause, ce que je ferai d'ailleurs aujourd'hui même.
Premièrement, il y a deux catégories de petits schmoux. Les problèmes et les amours. Bien entendu, il y a plus de problèmes que d'amours. Je commencerai donc par parler d'eux.
Il y a plusieurs catégories de problèmes. Premièremet, les pathologiques, les vrais problèmes. Nos TC, TED, hyper-actifs et autres. Ils sont rares, mais là quand même. Cependant, ils sont loin d'être les pires. La pluspart du temps, ils sont même tout à fait supportables. Puis il y a les problèmes d'attention. Eux, ont les aimes moins. Ils se pavanent, rient de tout le monde et se trouvent incroyablement drôles. Bien entendu, ils ne sont quand même pas pour écouter l'animatrice! Jusqu'à ce qu'on sorte la menace suprême: 'Je vais le dire à ta mère!'. Là, ils ont tendances à nous regarder d'un air de dire 'tu vas pas oser!' et nous ont leur souris d'un air de dire 'comme si j'allais me gêner!' et là ils se calment. Nous avons aussi nos problèmes à temps partiel. Ceux-là peuvent être totalement fantastique ou complètement détestables. Faut simplement apprendre comment fonctionner avec eux. Et puis, on a nos filles. Les filles, c'est autre chose. Elles se croient tout permis parce que c'est des filles. Elles font pleurer les plus jeunes, disent des 'bitcheries' (eh oui! ça commence tôt ces trucs!), détruisent les cabanes en matelas des autres (maintenant interdites d'ailleurs) et ne s'attendent pas aux conséquences. Lorsqu'on arrive à leur côté et qu'on les chicane, elles prennent un air indigné, du genre 'Comment ose tu me chicaner? Je suis une fille moi!' et elles se retournent vers leurs amies pour recommencer leurs manigances.
Et puis, on a nos amours. Nos petits chouchous qui ensoleilles nos journées et nous rappelent pourquoi nous sommes là quand on commence à se poser la question. Ceux qui s'élancent vers nous en criant notre nom haut et fort. Ceux qui donnent des câlins aux cinq minutes, qui s'accrochent à nous de leurs toutes petites mains et nous admirent de leurs grands yeux d'enfants comme si nous étions des héros. Ceux que l'on adopterait sur-le-champ. Ceux là, même s'ils sont tellement plus rares que nos problèmes, nous donnent vraiment le goût de se lever le matin pour aller travailler.
Premièrement, il y a deux catégories de petits schmoux. Les problèmes et les amours. Bien entendu, il y a plus de problèmes que d'amours. Je commencerai donc par parler d'eux.
Il y a plusieurs catégories de problèmes. Premièremet, les pathologiques, les vrais problèmes. Nos TC, TED, hyper-actifs et autres. Ils sont rares, mais là quand même. Cependant, ils sont loin d'être les pires. La pluspart du temps, ils sont même tout à fait supportables. Puis il y a les problèmes d'attention. Eux, ont les aimes moins. Ils se pavanent, rient de tout le monde et se trouvent incroyablement drôles. Bien entendu, ils ne sont quand même pas pour écouter l'animatrice! Jusqu'à ce qu'on sorte la menace suprême: 'Je vais le dire à ta mère!'. Là, ils ont tendances à nous regarder d'un air de dire 'tu vas pas oser!' et nous ont leur souris d'un air de dire 'comme si j'allais me gêner!' et là ils se calment. Nous avons aussi nos problèmes à temps partiel. Ceux-là peuvent être totalement fantastique ou complètement détestables. Faut simplement apprendre comment fonctionner avec eux. Et puis, on a nos filles. Les filles, c'est autre chose. Elles se croient tout permis parce que c'est des filles. Elles font pleurer les plus jeunes, disent des 'bitcheries' (eh oui! ça commence tôt ces trucs!), détruisent les cabanes en matelas des autres (maintenant interdites d'ailleurs) et ne s'attendent pas aux conséquences. Lorsqu'on arrive à leur côté et qu'on les chicane, elles prennent un air indigné, du genre 'Comment ose tu me chicaner? Je suis une fille moi!' et elles se retournent vers leurs amies pour recommencer leurs manigances.
Et puis, on a nos amours. Nos petits chouchous qui ensoleilles nos journées et nous rappelent pourquoi nous sommes là quand on commence à se poser la question. Ceux qui s'élancent vers nous en criant notre nom haut et fort. Ceux qui donnent des câlins aux cinq minutes, qui s'accrochent à nous de leurs toutes petites mains et nous admirent de leurs grands yeux d'enfants comme si nous étions des héros. Ceux que l'on adopterait sur-le-champ. Ceux là, même s'ils sont tellement plus rares que nos problèmes, nous donnent vraiment le goût de se lever le matin pour aller travailler.
mardi, juillet 03, 2007
Job d'été
À mon âge vénérable (ne riez pas!), nous sommes tous à la quête d'une même chose: Une job d'été. Mais on ne veut pas n'importe quelle job. On veut LA job. Celle qui n'est ni plate ni épuisante. Celle où on a pas à compter la petite monaie de fond de porte-feuille, où on a pas à se briser le dos sur des chaîne de montages, où on a pas à changer de couches ou à se brûler au soleil à temps plein. On cherche aussi les conditions idéales qui vont avec. Des clients pas chialeux, un patron sympathique (eh oui! ça existe!), des collègues qui ne tombent pas sur les nerfs...bref, on cherche l'impossible!
Peut-être pas tant que ça. Eh oui! Vous avez deviné! Je suis l'heureuse élue qui a trouvé un de ses emplois trop rares. Cette fantastique découverte est: Le service de garde d'un camp de jour qui coûte cher. Pourquoi le service de garde? Parce qu'on a pas à crier, à courir, à chanter, à s'arranger avec les pas-fins, à imaginer des jeux et tous les autres trucs que les animateurs normaux font. On ne travaille pas avec l'argent (pas de caisse à balancer! Amen!), on s'amuse avec les jeunes seulement si on le veux bien, on reste en dedans pour la job mais avons tout le temps de sortir entre nos heures...Pourquoi camp qui coûte cher? Je ne suis aucunement pégorative envers les camps de jour de la ville, où je me suis amusée plusieurs années et que j'ai adoré. Par contre, pour un animateur, c'est pas la joie. Les TC, TED, troubles de l'attention, enfants en centre d'accueil et autres abondent dans les camps public. Et bien que cela nous ouvrent l'esprit aux diverses personnalité, avoir quelques-uns des ces shmoux sous notre responsabilité, c'est pas vraiment chouette. Et ces petits shmoux désagréables à animer sont beaucoup moins nombreux parmis nous. Voilà.
Et pour les conditions idéales, je les aies aussi! Mes deux boss sont géniaux, mes collègues (avec un e) sont super gentilles, les animateurs du camp aussi...donc, aucun chialage à l'horizon! (Pour cette fois. Attendez que je vous parle de ma job de fin de semaine!). Un deux cents kilomètres de vélo, une job parfaite, un nouveau tournant santé à l'alimentation familiale...avoir fini le secondaire, c'est pas si mal après tout!
Peut-être pas tant que ça. Eh oui! Vous avez deviné! Je suis l'heureuse élue qui a trouvé un de ses emplois trop rares. Cette fantastique découverte est: Le service de garde d'un camp de jour qui coûte cher. Pourquoi le service de garde? Parce qu'on a pas à crier, à courir, à chanter, à s'arranger avec les pas-fins, à imaginer des jeux et tous les autres trucs que les animateurs normaux font. On ne travaille pas avec l'argent (pas de caisse à balancer! Amen!), on s'amuse avec les jeunes seulement si on le veux bien, on reste en dedans pour la job mais avons tout le temps de sortir entre nos heures...Pourquoi camp qui coûte cher? Je ne suis aucunement pégorative envers les camps de jour de la ville, où je me suis amusée plusieurs années et que j'ai adoré. Par contre, pour un animateur, c'est pas la joie. Les TC, TED, troubles de l'attention, enfants en centre d'accueil et autres abondent dans les camps public. Et bien que cela nous ouvrent l'esprit aux diverses personnalité, avoir quelques-uns des ces shmoux sous notre responsabilité, c'est pas vraiment chouette. Et ces petits shmoux désagréables à animer sont beaucoup moins nombreux parmis nous. Voilà.
Et pour les conditions idéales, je les aies aussi! Mes deux boss sont géniaux, mes collègues (avec un e) sont super gentilles, les animateurs du camp aussi...donc, aucun chialage à l'horizon! (Pour cette fois. Attendez que je vous parle de ma job de fin de semaine!). Un deux cents kilomètres de vélo, une job parfaite, un nouveau tournant santé à l'alimentation familiale...avoir fini le secondaire, c'est pas si mal après tout!
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