Je suis toujours vivante, survivant courageusement à cette épreuve cruelle que l'on appelle 'mi-session'. Prenez une trentaine d'heures de cours par semaine, des devoirs et de l'étude à profusion, des travaux de fins de sessions pour à peu près chaque cours, des examens, la perspective des examens de fin de sessions, quelques mauvais résultats et soupoudrer le tout d'un peu de fatigue, beaucoup de stress et du fait que nous sommes uniquement des filles dans notre groupe (sauf le llama. mais on n'en parlera pas), et ça vous donne une idée de la mi-session en soins infirmiers. Mais on survie. On apprend à vivre au Cégep. On apprend à faire ses devoirs, à prendre des notes, à étudier et même à écouter pendant ses cours! On apprend aussi à arriver en classe avec son café, ou son déjeuner pour certains, à sortir de la classe sans le demander au prof, à sortir de la classe après un examen, à ne pas donner rendez-vous à quelqu'un à la bibliothèque (parce que c'est à peu près sûr que vous ne vous trouverez pas), à avoir des pauses de dix minutes à chaque 50 minutes, à marcher avec un sac de 20 kilos sur une épaule, à se retrouver parmis les corridors sans fin et à boire de plus en plus de café. Vivement que les 5 semaines de congé de Noël arrive (oui oui! cinq semaine! hahahahahaaaaa)
p.s: Désolée pour les atroces fautes d'orthographe qui gambadent joyeusement dans mes textes ces temps-ci. La mi-session affecte aussi notre capacité à écrire. (autrement dit, je suis juste trop paresseuse pour me relire)
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
2 commentaires:
Rohhh. Les joies du cégep. On me dit par ci par là "Encore 2 ans, et tu est sortie de cet enfer!"... Est ce vraiment rassurant de quitter un enfer pour en rejoindre un autre? Sinon, quel joie sa doit être d'apporter un café en classe et de se lever et quitter sans que sa dérange personne!
ben coudon ... le cégep a changé depuis le temps ... À moins que ... que ?? Ah oui c'est peut-être ca 6 ans de cégep ...
Publier un commentaire