jeudi, octobre 26, 2006

Angoisse post-photographique

Et voilà! C'est fini (du moins je le crois bien). Les photos des finissants sont terminées. Une nouvelle vague d'angoisse s'installe parmis les rangs des aînés étudiants. 'De quoi je vais avoir l'air sur ma photo??'. Cette angoisse s'est installée quelques secondes après la prise de la photo fatidique et restera bien ancrée dans nos coeurs jusqu'au jours où nous recevrons la petite enveloppe de commande. Heureusement, cette angoisse m'est épargnée. Je fais partie des rares chanceuses ayant eu le temps de jeter un oeil sur le petit écran du photographe. Verdict: Elle est complètement ratée. J'ai l'air d'être une finissante du primaire. Mais bon! À quoi s'attendre. Après tout, c'est mettre ma face sur une photo. C'était prévisible. Trève de blabla sur un sujet aussi....blergh.

L'année est belle et bien commencée. Vous pensez probablement 'Iiih. Presque pas en retard la fille!'. Je veux dire, l'ambiance de l'année scolaire est installée. September et octobre sont des mois d'adaptation. Il y a une certaine fibrilité dans l'air, une incertitude qui plane au-dessus de nos tête. Elle est à présent dissipée. Nous croisons des filles pleurant dans les couloirs un peu partout, nous voyons des airs bêtes (et en faisons un certains nombre aussi), nous entendons des critiques peu flatteuse jaillirent d'un peu partout. Nous découvrons les 'dark side' de tout le monde. Les faces d'enterrement reprennent leur place parmis nos rangs. Et les élèves se pètent la tête contre les murs à l'idée des examens un peu stressant qui s'en viennent et des travaux à remettre le lendemain qui ne sont pas encore commencés. Respirons un bon coup, fermons les yeux, et plongeons dans cet univers qui nous enveloppera pour un petit huit mois tout chétif qui passera probablement trop vite.

mardi, octobre 24, 2006

L'angoisse pré-photographie

Demain, date fatidique. C'est la prise des photos des finissantes de l'esmc. Panique, angoisse et stress incommesurable parmis les rangs de la gente féminine. Moi y compris. Qui aurait cru? Les questions existentielle fusent de partout. Qu'est-ce que je vais mettre? Comment je me maquille? Comment vais-je me peigner? Quel sourire me difforme le moins la face? Quels bijoux je devrais porter? Et à ma grande surprise, je suis tout autant angoissée que toutes les autres. Faut croire que la dernière année à Marcellin-Champagnat m'a féminisée plus que je ne voudrais l'admettre. Me voilà parée de faux-ongles puisque mes vrais étaient en trop mauvais état pour les exposer sur le mur de l'école, en train de philosopher quand à savoir si je devrais mettre une jupe ou des jeans. Je me désespère. La normalité est en train de m'avoir à l'usure. Demain matin, je ferai partie des nunuches en train de se battre pour avoir une prise électrique pour le fer à friser. Je ferai partie de celle qui se morderont les lèvres aux sang à l'idée de me retrouver devant l'objectif de la caméra. Je ferai partie de celle qui se regarderont dans le miroir un million de fois dans la journée pour s'assurer que le maquillage est bien en place et qu'il n'y a pas une cheveux au mauvais endroit. Mais pire que tout, je ferai partie de celle qui essaieront de déceler la moindre parcelle de désaprobation quant à la tenue vestimentaire choisie.
Vieillir ne me va vraiment pas. (oui, je sais que j'ai à peine 16 ans)

vendredi, octobre 20, 2006

TGIF

Thanks God it's friday. Ce que nous avons pu l'attendre celui-là cette semaine. Premièrement, avertissement. Ceux qui me conaissent auront remarqués que ce blog n'est pas tout à fait moi. En effet, il ne comporte aucun chialage bien juteux. Ok, peut-être quelques-uns à bien y penser, mais aucun officiel. Voici donc mon premier chialage officiel.
Donc. Des semaines comme ça, ne m'en envoyer pas trop souvent s'il-vous-plaît. Les semaines de 5 jours après un congé de 4 jours sont habituellement déplaisantes. Encore plus lorsqu'on est un pauvre petit secondaire cinq. Et encore plus lorsqu'il pleut des projets tous plus imposants les uns que les autres. Les élèves ont les nerfs à vif (moi y compris), les profs semblent d'humeur aussi massacrante que la notre et la température décide de se rajouter au tout. Fantastique.
Comme si ce n'était pas assez, hier au travail, je me suis fait voler ma bicyclette. Rectification. Je me suis fait voler la bicyclette de mon grand frère. Merveilleux. Vraiment. Non seulement, je viens de perdre un bien ne m'appartenant pas et que je devrai rembourser mais en plus, je n'est plus de bicyclette fonctionelle. Ce qui veux dire que j'ai dû revenir du travail à pieds hier et aujourd'hui (j'ai trouver un lift pour m'y rendre aujourd'hui heureusement). Je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais il pleuvait hier. Un tout petit peu. Pour vous donner une idée, j'avais sur le dos un manteaux, une veste et un chandail et mon soutien-gorge était trempé. J'ai adoré.
De plus, le gros orteil de mon pied gauche a décidé de me narguer et de ne pas guérir. Niaiserie. Je suis sûre qu'il fait ça pour rire de moi.
Mais pour bien finir la semaine, il NEIGE!! Daccord, présentement, il ne neige plus. Mais c'était tout blanc tout à l'heure! Ça compense pour le reste.

lundi, octobre 09, 2006

Les plaisirs du torticolli

Dimanche matin, 7h30. Je me réveille, regarde le réveil matin de mon grand frère (le mien n'étant pas assez illuminé pour que je puisse lire l'heure de loin) et je me dis que pour un dimanche matin, il est bien trop tôt pour se lever. Je décide donc de me réinstaller confortablement pour continuer à dormir. Je me retourne donc, de manière tout à fait violente, comme je le fais d'habitude. C'est alors que j'entend un son ressemblant assez fidèlement à 'Krrrrrrrounch' provenant de mon cou, suivi d'une douleur assez déplaisante. Je me dis alors que ça va sûrement passer. Je me lève donc 30 minutes plus tard, incapable de trouver une position confortable dans mon lit (ben...celui de mon frère). La vérité me frappe alors: j'ai un torticolli. Je suis dans l'incapacité totale de tourner la tête vers la droite. Actuellement, pour être un temps soit peu confortable, il me faut légèrement pencher la tête vers la gauche, comme lorsque je lis. Très intéressant de passer une journée au complet dans cette position, vraiment. Et comme si ce n'était pas assez, mon torticolli m'empêchait aussi de lever mon bras gauche. C'est vraiment pationant essayer de se laver et peigner les cheveux sans pouvoir lever le bras gauche, ni tourner la tête vers la droite. Vraiment, des heures de plaisir.
Heureusement, il ne s'est pas trop attaché à moi. Je peux donc maintenant tourner la tête presque comme bon me semble. Et il n'y a pas que des mauvais côté à avoir un torticolli. Je ne me suis jamais tenu le dos aussi droit de toute ma vie. Espérons quand même qu'il partira déffinitivement avant mercredi. Je ne tiens pas à expérimenter un cours de karaté avec un cou refusant de tourner à droite.

vendredi, octobre 06, 2006

Freins, quand vous ne freinez plus.

Me revoilà sur mon petit blog, toujours vivante et en un seul morceau. Mais il aurait pu en être autrement! (la dramaturge en moi qui refait surface (je sais, dramaturge n'est pas le mot approprié. Mais je le trouvais chouette.)) Je vous raconte ma malheureuse histoire.
Lundi passé, je me dirigeais joyeusement vers mon cours de karaté à l'Acadie sur ma formidable bicyclette, comme je le fais quand je suis chez ma maman. Donc, arrivée au coin de St-Jacques et je sais pas trop quelle rue sur laquelle je dois tourner, je mets les freins pour ne pas tourner trop rapidement. C'est alors que j'entends un bruit de métal assez inquiétant et que je me retrouve à freiner beaucoup plus brusquement que prévu. Ma première pensée fut 'Ça y est, ma roue avant vient de lâcher. Je vais mourir.' Heureusement, j'avais tort. Ma roue avant est toujours à sa place et je suis toujours vivante. Cependant, il y avait bel et bien quelque chose qui clochait. Après avoir pris un bon 10 secondes pour me remettre du choc, je me suis rendue compte qu'il y avait quelque chose de bizarre dans ma main gauche. Et cette chose était mon frein avant, c'est-à-dire le seul frein fonctionnel de ma bicyclette. Et quand je suis descendue de ma bicyclette pour voir l'étendue des dégats, le frein est resté dans ma main. J'en est donc conclu qu'il n'était plus vraiment fonctionnel.
Certains d'entre vous pourrais se dire 'Pff! Tout ce blabla pour un simple frein!'. À ceux-ci, je conseille simplement de faire un aller-retour entre le Vieux St-Jean et le village de l'Acadie en passant par le chemin du Clocher, le soir, pas de frein. Ils changeront sûrement d'idée assez vite. Voilà mon histoire.

Petites pensées sans lien avec le sujet de la journée:

-J'ai eu mes 5 et demie de paye finalement. Je paniquais un peu pour rien.
- Un moka blanc, c'est bon, mais vachement dur à digérer avec une petite pastille gélatineuse à la menthe ultra forte.
-Si vous avez prévu prendre un volcan comme dessert chez Mikes, j'espère que vous avez un appétit d'ogre. Ou que vous avez une amie qui en a un.
Et pour deux personnes qui pourraient lire ce message et qui se reconnaitrons surement: c'est pas loyal d'utiliser la photo de secondaire un de quelqu'un sous prétexte que la personne en question a malencontrueusement été cachée sur une autre photo. Je protèste.
Voilà pour aujourd'hui. Bonne fin de semaine de la Thanksgiving! (désolée pour l'anglicisme. je trouve que ça fait plus festif en anglais qu'en français)